31 décembre 2010

Pêche blanche, le lac flavrian


Un petit lac que je ne connaissais pas, qui m'a été montré par ma blonde. La première pêche sur ce lac s'est terminé par une bredouille et beaucoup de frustration puisque je me ferrai brisé ma brimbale par un monstre qui a extrait quelques sacres de mon être... mais le retour a été très plaisant puisque les poissons ont été au rendez-vous, mais rien de gros. Quelques lignes coupés par des petits malins, une canne qui a disparu dans le trou, magie, magie, et beaucoup de plaisirs :)

On "watch les lignes




Le plus gros de la session, un petit 23 pouces, mais j'en entends parlé puisque ce n'est pas moi qu'il l'ai sorti... hehe
Belle petite perchaude
"Jigging time"

La fatigue s'installe avec la nuit qui tombe, il est temps de ranger tout ça et d'aller se mettre au chaud

09 novembre 2010

La ballade de Mahingan

Il m'a fallu du temps pour revenir sur ce terrain qui a été une source de frustration et de mise à mal de mon petit orgueil. Mais cette expédition aura été une belle découverte et surtout une rencontre avec une région, des gens et de nouveaux horizons. J'ai pu côtoyer et faire la rencontre de Ben, un Algonquin qui connait le bois et ses secrets comme sa poche. Il m'a beaucoup appris en peu de temps à grand coups d'histoire, de vécu et de partage. Le dialogue était basé sur un mélange de Français et d'Algonquin avec pour point de repaire, l'anglais. La région, le Témiscamingue, une pure merveille, si vous avez l'occasion, c'est un vrai régale pour les orbites oculaires.

Le ciel auquel nous avions droit chaque nuit.

Le réveil, au petit matin sur le lac Booth (Petit mot en passant: il y aurait des truite grise dont le poids avoisine ou dépasse les 50 lbs, je vous laisse méditer).
Ben fait un cône en écorce de bouleau afin de "caller" (appeler) l'orignal.

La photo n'est pas idéale, mais les dorés du lac des Loups sont bleu. Et oui, ce serait issu d'une adaptation du doré jaune aux grandes profondeurs.


On peut voir deux dorés bleu en bas et un doré jaune en haut.
Les contenus stomacaux étaient remplis de menés.












Premier coups à l'orgueil, une petite pêche avec Ben ou il fait un poisson a presque chaque lancé, alors que moi, je rate juste une touche.







Nous avons conservé du poisson pour cette étude. Et quelle ne fut pas notre surprise de trouvé un petit castor dans l'estomac de ce brochet de 16 lbs.



Une lotte au lac Sairs.








La dernière frustration fut la quantité de perdrix que j'ai pu voir pour en raté une quantité phénoménale. Mais ce n'est jamais le gars qui vise mal, c'est la carabine qui a un problème... :)